Un extrait de l'intervention géniale mais déjà ancienne, du DSI de Renault, Jean-Pierre Corniou (son blog), captée par Luc Legay, l'agitateur de particules du RU3
dimanche 11 novembre 2007
mercredi 11 juillet 2007
Créatif culturel, Pro'am, pronétaire : les nouvelles classes du web
Vu sur le web à propos des "Creative Class" :
Le site du CCG (Creative Class Group)
Un résumé de l'ouvrage The Rise of the Creative Class de Richard Florida et quelques critiques lues sur le web
Emergence et révolution des Pro-am (Pro + Amateur)
Changement de paradigme lorsque l'amateur génére la valeur : How enthusiasts are changing economy and society l'ouvrage de Charles Leadbeater et Paul Miller
Toutefois, l'émergence des pro'am est aussi considérée, par quelques uns, notamment Andrew Keen, comme un nivellement culturel par le bas, c'est ce qu'il affirmait encore lors d'Educa on line 2007 à Berlin
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Pronétariat : les révoltés du web
mardi 3 juillet 2007
Phénomène 2.0
"Ecrire, commenter, copier-coller, mixer, publier, partager ou échanger des photos, vidéos, liens et tag, sur des sites de présentation de soi et de ses univers relationnels, développer des expérimentations cartographiques ou de moblogging articulant le web et le mobile dans un "espace augmenté", la dimension massive de l’usage des technologies sociales est frappante. Ces dispositifs et agencements machiniques, ces pratiques et expérimentations forment désormais un continuum socio-technique appréhendé actuellement sous le terme discutable et discutée du web 2.0, désignant le deuxième âge d’internet et du Web et son tournant expressiviste".
Source : Laurence Allard, Revue MediaMorphoses n°21, septembre 2007, Armand Colin/INA Synthèses sur le Web 2.0VOCABULAIRE DU WEB 2.0
HISTORIQUE, CONCEPTS ET APPLICATIONS DU WEB 2.0
- Mes slideshow favoris relatifs au web 2.0
- Dossier du JDN sur le Web 2.0
Les figures du web 2.0 et la french touch, le dico du web 2.0, les enquêtes, les modèles, les témoignages...
Focus sur le Web 2.0
- Synthèse de l'ANDESE sur les enjeux éco du Web 2.0
- L'entreprise 2.0
LES MODELES ECONOMIQUES DU 2.0
- Le mashup
Un voyage au pays des mashup organisé par Loïc Hay
- La longue traine
Anatomie de la longue traine (long tail)
Présentation de la théorie de la Long Tail par Chris Anderson
Loïc Le Meur commente le modèle de la longue traine :
LongueTraine
La longue traine c'est l'heure de l'hyperchoix comme le résume Geoffrey Delcroix (Futuribles) à propos de l'analyse de Chris Anderson. Voir le billet de synthèse de Jean-Luc Raymond. Voir également l'article du Wired
REMARQUES A PROPOS DU PHENOMENE 2.0 :
- La Wikinomie : et si l'économie devenait participative ? Il y aurait ainsi une nouvelle forme d'innovation ascendante et collaborative qui se traduirait, notamment, par l'extension de la R&D de l'utilisateur vers l'entreprise (modèles d'innovation empruntés au monde du logiciel libre), mais aussi de nouveaux modèles éco fondés sur la valorisation de la production des internautes (UGC). Les entreprises sont les premières impactées, celles qui ont pris le virage à temps (dites entreprises 2.0) devraient tirer partie de ce phénomène participatif et collaboratif en intégrant, canalisant et en valorisant leur environnement interne, et externe dans une nouvelle meta organisation. Pour développer le capital immatériel, générer de nouveaux gains de productivité, les entreprises qui ont fait leur introspection pour amorcer la migration 2.0, développent en interne et de manière étendue la collaboration, la participation, la création, et gagnent en souplesse, flexibilité et réactivité. C’est la diffusion d'une culture 2.0, et une démarche de valorisation des usages 2.0 qui permettraient de se maintenir dans la course, voire de développer un avantage compétitif. Même si le discours est un peu naïf, il y aurait, au-delà, l’idée que l’entreprise est une machine à épanouir et pas inhiber, et que la maitrise de l’organisation informelle, passe par un management 2.0 qui peut convertir la dispersion, les dissensions, en collaboration, implication, force et valeur. L’entreprise 2.0 ne serait-ce pas aussi, aussi des projets qui s’agrègent pour donner lieu à une meta organisation, un mashup d’entreprises ?
- La diffusion du numérique bouleverse les chaines de valeur traditionnelle, et trouble les rapports de production, distribution, consommation, et bien sûr déstabilise les modèles économiques traditionnels par l’écrasement des couts de diffusion et distribution. La diffusion des usages et des services ne va pas non plus sans poser quelques soucis s’agissant de la chaine de valeur et le partage des revenus entre fournisseur d’infras,de services, et de contenus cf. le débat sur la net neutrality arrive enfin en France, la guerre sur le support de convergence, etc.
- Paradoxalement le web qui évolue en se centrant sur l'internaute constituerait aussi un nouveau vivier de création de valeurs. L'internet devenu le human network place l'internaute au centre de nouveaux modèles de réintermédiation, et de développement de la valeur. L'internaute est devenu prescripteur, producteur, marketeur, collaborateur... il s'agirait du fameux consom'acteur qui émerge dans la révolte du pronétariat. Evidemment cet argument, joue dans les deux sens, car oui, il se peut qu’il y ait cette destruction créatrice, chère à Schumpeter, mais ce qu’il faut surtout déterminer c’est le rapport entre la valeur détruite et la valeur créée, en souhaitant qu’elle s’équilibre a minima.
- L’internaute un animal hypersocial par nature ? Et si le réseautage aigu, l’UGC, et la blogattitude n’étaient motivée que par la satisfaction d’une pulsion hyper-exhibitionniste. Pulsion qui impose pour sa satisfaction une hypervisibilité, celle-ci se développant d’autant mieux que l’internaute 2.0 serait plutôt exhibo-voyeur.
- L’hyperparticipation serait une idée reçue, la règle serait plutôt 90-10 (90 % de lecteurs, 10% de producteurs relatifs, car 9% de ces 10% ne produiraient que des commentaires)
- Plutôt que l'émergence d'une société participative, on assisterait en fait à de nouveaux rapports de forces, entre info-capitalistes et pronetaires selon la formule de Joël de Rosnay, ainsi, la génération participation sur le web serait-elle la nouvelle classe info-ouvrière.
- Internet n'est plus seulement le support qui relie les ordinateurs et les données, c'est surtout un support qui relie les hommes. Internet est alors la plateforme d’expression des individualités, et le support des micro et macro-communautés. L’internaute se partage ainsi entre neo-tribalisme, hypersociabilité et hyperindividualisation.
- Dans une société de l’hyperconsommation, pour saisir l’individu, ou plutôt la complexité de l’hyperindividu, il faut développer de nouveaux stratagèmes, auto-marketing, opportunités de la long tail, puissance du nanomarketing
- L’intelligence collective (ou connective dirait Richard Colin) est le moteur de l’innovation et de la création de valeur donc développons le support des réseaux, de la collaboration, du partage et de la circulation de l’information, assurons l’internet ubiquitaire pour tirer le meilleur partie de la loi de Metcalf. La loi de Metcalf prévoit que l’utilité et la valeur d’un réseau progresse comme le carré du nombre des utilisateurs raccordés à ce réseau (à chaque fois que le nombre d’utilisateurs double, l’utilité du réseau quadruple). Mon réseau social est-il mon moteur de recherche le plus puissant ? Pour qui sait attendre, c’est-ce que semble démontrer l’expérience de Luc Legay voir le post
- Menace d’une fracture 2.0 ! L’éveil, la diffusion et l’appropriation des usages représentent plus que jamais un enjeu d’intervention publique. Intervention qui doit tenir compte d’une approche systémique infrastructures-services-usages.
- Le phénomène 2.0, le glissement d’un média de masse, au média de la masse, l’horizon de la mobiquité, le développement des nanotechnologies, l’humanisation des objets, la robotisation de l’humain, le développement de l’IA, il y a un terreau fertile aux nouvelles utopies, comme en témoigne le développement du transhumanisme (à lire : la bible du changement : l’humanité2.0)
Présentation de la théorie de la Long Tail par Chris Anderson
Loïc Le Meur commente le modèle de la longue traine :
LongueTraine
La longue traine c'est l'heure de l'hyperchoix comme le résume Geoffrey Delcroix (Futuribles) à propos de l'analyse de Chris Anderson. Voir le billet de synthèse de Jean-Luc Raymond. Voir également l'article du Wired
REMARQUES A PROPOS DU PHENOMENE 2.0 :
- La Wikinomie : et si l'économie devenait participative ? Il y aurait ainsi une nouvelle forme d'innovation ascendante et collaborative qui se traduirait, notamment, par l'extension de la R&D de l'utilisateur vers l'entreprise (modèles d'innovation empruntés au monde du logiciel libre), mais aussi de nouveaux modèles éco fondés sur la valorisation de la production des internautes (UGC). Les entreprises sont les premières impactées, celles qui ont pris le virage à temps (dites entreprises 2.0) devraient tirer partie de ce phénomène participatif et collaboratif en intégrant, canalisant et en valorisant leur environnement interne, et externe dans une nouvelle meta organisation. Pour développer le capital immatériel, générer de nouveaux gains de productivité, les entreprises qui ont fait leur introspection pour amorcer la migration 2.0, développent en interne et de manière étendue la collaboration, la participation, la création, et gagnent en souplesse, flexibilité et réactivité. C’est la diffusion d'une culture 2.0, et une démarche de valorisation des usages 2.0 qui permettraient de se maintenir dans la course, voire de développer un avantage compétitif. Même si le discours est un peu naïf, il y aurait, au-delà, l’idée que l’entreprise est une machine à épanouir et pas inhiber, et que la maitrise de l’organisation informelle, passe par un management 2.0 qui peut convertir la dispersion, les dissensions, en collaboration, implication, force et valeur. L’entreprise 2.0 ne serait-ce pas aussi, aussi des projets qui s’agrègent pour donner lieu à une meta organisation, un mashup d’entreprises ?
- La diffusion du numérique bouleverse les chaines de valeur traditionnelle, et trouble les rapports de production, distribution, consommation, et bien sûr déstabilise les modèles économiques traditionnels par l’écrasement des couts de diffusion et distribution. La diffusion des usages et des services ne va pas non plus sans poser quelques soucis s’agissant de la chaine de valeur et le partage des revenus entre fournisseur d’infras,de services, et de contenus cf. le débat sur la net neutrality arrive enfin en France, la guerre sur le support de convergence, etc.
- Paradoxalement le web qui évolue en se centrant sur l'internaute constituerait aussi un nouveau vivier de création de valeurs. L'internet devenu le human network place l'internaute au centre de nouveaux modèles de réintermédiation, et de développement de la valeur. L'internaute est devenu prescripteur, producteur, marketeur, collaborateur... il s'agirait du fameux consom'acteur qui émerge dans la révolte du pronétariat. Evidemment cet argument, joue dans les deux sens, car oui, il se peut qu’il y ait cette destruction créatrice, chère à Schumpeter, mais ce qu’il faut surtout déterminer c’est le rapport entre la valeur détruite et la valeur créée, en souhaitant qu’elle s’équilibre a minima.
- L’internaute un animal hypersocial par nature ? Et si le réseautage aigu, l’UGC, et la blogattitude n’étaient motivée que par la satisfaction d’une pulsion hyper-exhibitionniste. Pulsion qui impose pour sa satisfaction une hypervisibilité, celle-ci se développant d’autant mieux que l’internaute 2.0 serait plutôt exhibo-voyeur.
- L’hyperparticipation serait une idée reçue, la règle serait plutôt 90-10 (90 % de lecteurs, 10% de producteurs relatifs, car 9% de ces 10% ne produiraient que des commentaires)
- Plutôt que l'émergence d'une société participative, on assisterait en fait à de nouveaux rapports de forces, entre info-capitalistes et pronetaires selon la formule de Joël de Rosnay, ainsi, la génération participation sur le web serait-elle la nouvelle classe info-ouvrière.
- Internet n'est plus seulement le support qui relie les ordinateurs et les données, c'est surtout un support qui relie les hommes. Internet est alors la plateforme d’expression des individualités, et le support des micro et macro-communautés. L’internaute se partage ainsi entre neo-tribalisme, hypersociabilité et hyperindividualisation.
- Dans une société de l’hyperconsommation, pour saisir l’individu, ou plutôt la complexité de l’hyperindividu, il faut développer de nouveaux stratagèmes, auto-marketing, opportunités de la long tail, puissance du nanomarketing
- L’intelligence collective (ou connective dirait Richard Colin) est le moteur de l’innovation et de la création de valeur donc développons le support des réseaux, de la collaboration, du partage et de la circulation de l’information, assurons l’internet ubiquitaire pour tirer le meilleur partie de la loi de Metcalf. La loi de Metcalf prévoit que l’utilité et la valeur d’un réseau progresse comme le carré du nombre des utilisateurs raccordés à ce réseau (à chaque fois que le nombre d’utilisateurs double, l’utilité du réseau quadruple). Mon réseau social est-il mon moteur de recherche le plus puissant ? Pour qui sait attendre, c’est-ce que semble démontrer l’expérience de Luc Legay voir le post
- Menace d’une fracture 2.0 ! L’éveil, la diffusion et l’appropriation des usages représentent plus que jamais un enjeu d’intervention publique. Intervention qui doit tenir compte d’une approche systémique infrastructures-services-usages.
- Le phénomène 2.0, le glissement d’un média de masse, au média de la masse, l’horizon de la mobiquité, le développement des nanotechnologies, l’humanisation des objets, la robotisation de l’humain, le développement de l’IA, il y a un terreau fertile aux nouvelles utopies, comme en témoigne le développement du transhumanisme (à lire : la bible du changement : l’humanité2.0)
lundi 2 juillet 2007
Les services du Web 2.0
LE BLOG
LA PAGE D'ACCUEIL PERSONNALISABLE
A découvrir également : la page personnalisable selon google, yahoo,
LE MICRO-BLOGGING
Présentation de Twitter
LA PAGE D'ACCUEIL PERSONNALISABLE
Agrégation de fils RSS + Widgets
- RSS
A découvrir également : la page personnalisable selon google, yahoo,
- xFRUITS : le mixer de flux RSS
LE MICRO-BLOGGING
Présentation de Twitter
Le Web 2.0 Conférence de Xavier de Mazenod - Adverbe -
vendredi 16 mars 2007
Une tentative de définition du web 2.0
Une synthèse en image assez parlante de cette évolution 2.0, réalisée par un universitaire américain Michael Wesch
What is web 2.0 ? Zdnet
Animation fun sur le web 2.0
What is web 2.0 ? Zdnet
Animation fun sur le web 2.0
Le Time résume avec une intelligente simplicité l'évolution du web.
Le réseau "c'est vous".
Effectivement, hier on connectait encore les ordinateurs, puis les réseaux, puis les contenus, aujourd'hui le web est une plateforme qui connecte les gens. Et l'internaute, l'utilisateur, devenu acteur, est au centre du web
Les tendances
- Les Robots
LES INTERFACES DE DEMAIN- Les Ecrans du futur
AEC / FRANCE3 - Le futur des écrans
envoyé par lpgilliard
L'HABITAT- La maison du futur
Maison_futur
envoyé par artmotion
LA MOBILITE- Scenario sur le futur de la mobilité
- Les mobiles de demain
envoyé par lpgilliard
Vidéo sur les usages et services de demain sur le mobile au Japon et en corée, réalisé par l'Atelier Asie- L'évolution de la téléphonie mobile en moins de 3 mn
- Les transports de demain
- Les Ecrans du futur
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